Les livres

 Découvrez les livres de Gérard PRIVAT

Gérard Privat présente, ici, une véritable alternative politique, économique et sociale pour surmonter pacifiquement les dérives actuelles. Il s’agit de construire ensemble un monde nouveau dans lequel le Peuple tout entier va pouvoir s’épanouir.

Gérard PRIVAT

Manifeste social

le bon sens

économique et politique

Une « perspective d’humanité »

 

« L’harmonie est synonyme de vie, un équilibre dynamique en constante évolution. »

« Et si l’harmonie devenait notre idéal de vie humaine, notre bon sens ? ! »

 Gérard Privat présente, ici, une véritable alternative politique, économique et sociale pour surmonter pacifiquement les dérives actuelles.

Il s’agit de construire ensemble, avec le Peuple, un monde nouveau dans lequel chacun va pouvoir s’épanouir.

Sa définition de la richesse est, elle même, fondée sur l’harmonie et intègre de fait la qualité environnementale.

La pensée est progressiste.

La volonté est de renforcer la démocratie et d’établir durablement la souveraineté du Peuple ; laquelle souveraineté pourra être facilement et sereinement assumée.

Concrètement, son projet est établi sur la coopération et le partage comme base pratique de la vie de la Nation, en redonnant aux communes et aux départements les moyens de l’harmonie sociale.

La démocratie peut-elle ainsi évoluer sainement et la souveraineté du Peuple devenir rapidement une réalité.

Gérard Privat veut aussi construire l’Europe des peuples solidaires et des nations souveraines.

Il propose de démocratiser l’ONU et d’en finir avec l’OTAN.

Il veut également résoudre le problème de l’immigration massive en permettant aux pays pauvres d’avancer sérieusement et dignement vers la démocratie.

Le Peuple souverain est l’acteur essentiel de tout projet de bon sens.

Ce manifeste est destiné à le rassembler.

Construisons la nouvelle société !

« La crise politico-économico-environnementale dans laquelle l’homme se trouve, est une crise d’identité dont l’homme est lui-même responsable par refus de sa responsabilité d’homme.

Pour sortir de cette crise il ne suffit pas de ne pas nuire.

Pour sortir de cette crise, l’homme doit assumer sa responsabilité pour inverser l’ordre des choses et conduire le changement en avançant dans le sens de la vie, en créant la nouvelle richesse, en développant l’harmonie sociale et l’épanouissement humain. »

Penser une refonte du modèle social, dans notre monde en crise, irait-il de soi ?

C’est une tâche périlleuse et complexe et pourtant Gérard Privat s’y atèle toujours avec conviction.

Dans cette « perspective d’humanité », il passe au crible les différents aspects de notre vie sociale, son organisation, la politique, l’économie, la finance, l’écologie, avec un objectif audacieux et sincère ; celui de construire une société nouvelle.

Le revenu vital, la démocratie citoyenne, le pouvoir, l’argent, les médias, l’Europe, la mondialisation, le vote blanc, y prennent un sens renouvelé.

Sa pensée encore qualifiée d’avant-gardiste il n’y a pas si longtemps est désormais rejointe par la réalité.

Il y a des idées, heureusement, mais pour sortir de ce monde en crise il faut aussi passer à l’action.

 

Maya

LE PARTAGE

CODE DE SANTÉ…

…politique, économique,

social, scientifique

et religieux.

« Les hommes qui ont confiance en l’homme affirment que l’effort humain vers la clarté et le droit n’est jamais perdu. »
Ces propos de Jean Jaurès illustrent à merveille l’état d’esprit de l’auteur.

Il a cette foi en l’humanité qui le porte à croire en un monde meilleur. Un monde qu’il nous invite,
à notre tour, non seulement à envisager mais aussi
à construire.

Lire cet ouvrage c’est porter un regard nouveau sur tout ce qui nous entoure et, avec le partage pour guide, se laisser ouvrir à de nouveaux horizons.

L’auteur n’est pas un scientifique. C’est-à-dire qu’il n’est instruit en aucune façon des compétences formelles habituelles en politique, philosophie, économie, théologie, physique, histoire ou autres sciences.
Il n’est rien de tout cela, sinon un voyageur apprenti de la vie quoti-dienne dans les espaces parcourus. Pour cette raison, n’étant rien… il s’occupe de tout et se proclame acteur de la vie.