Désastre ! Vous avez dit désastre !…
Dans deux précédents articles, lors des élections présidentielles et législatives, j’ai invité les électeurs à écarter d’abord le désastre Sarkozy et à éviter ensuite le désastre Hollande.
Mon premier vœu a été exaucé mais pas le deuxième.
Éviter le désastre Hollande devait simplement consister à élire une Assemblée Nationale qui n’aurait pas été aux ordres du Président, avec une demi-cohabitation ; c’est-à-dire une Assemblée Nationale avec une majorité composite qui aurait pu aller d’une gauche plus à gauche que le PS et jusqu’au centre.
Alors qu’il est en droit d’attendre un nouveau modèle de société plus équitable, le peuple français va devoir, au contraire, supporter le désastre politique d’un poseur de rustines au service des puissants de ce monde.
Des exemples… Aggravation du chômage, progression désastreuse de la pauvreté et de l’exclusion, dans une des premières puissances de la planète dont la richesse disparaît dans les portefeuilles des banques privées et des multinationales.
Autre exemple… Le projet d’aéroport de Notre Dame des Landes qui est économiquement inutile dans le contexte actuel, écologiquement malsain et humainement immoral.
Si l’on se réfère aux dernières élections législatives partielles, le socialisme français dénaturé semble préparer aimablement le terrain pour la prochaine alternance de la droite néolibérale ou de l’extrême droite.
Avenir Solidaire est toujours présent sur la scène politique avec des solutions pour remédier aux manipulations subies par le peuple français et à la détérioration des valeurs de la République.
Le programme d’Avenir Solidaire propose de transmettre le pouvoir au peuple en association la démocratie citoyenne avec une économie de justice sociale fondée sur la coopération et le partage.
J’invite les personnes de bonne volonté et de bon sens à prendre connaissance de l’ensemble du projet d’Avenir Solidaire et pour celles qui partagent les mêmes valeurs, à rejoindre le mouvement pour le construire solidement et durablement pour changer l’ordre des choses.
Il y a urgence.
Gérard Privat
Président d’Avenir Solidaire